2019 – Le janvier des petits jardins
Posté par jessbk le 16 mars 2019
L’Edito de Valentine
Janvier, le mois des bonnes résolutions : plus de sport, plus de bonnes oeuvres, moins de gras… Mais combien seront tenues ? C’est aussi le mois des soldes, alors à vos cartes bleues ! Quelques bonnes affaires à faire mais attention également aux arnaques qui se multiplient pendant la période des soldes. Alors pourquoi ne pas plutôt profiter de votre mois de janvier pour aller écouter la merveilleuse Lys dont les concerts sont de plus en plus beaux ? Ou pour flaner dans les rues de Meaux et admirer toutes les oeuvres de street art florissant dans la ville, avec un détour au nouveau carrefour socio culturel pour profiter des expositions ? Ce ne sont pas les idées de promenades qui manquent dans cette jolie ville qui bouge !
Valentine Leroy, Rédactrice en chef
C’est les soldes !
Pendant quelques semaines, les commerçants peuvent vendre à perte et proposer des rabais importants, fixés comme ils l’entendent, pour écouler leur stock : il s’agit de la période des soldes, qui a commencé le 2 janvier 2019 dans une poignée de départements puis dans toute l’Hexagone le 9 janvier 2019.
Un peu d’histoire
Les soldes sont « inventés » dans les années 1830 par Simon Mannoury, fondateur du magasin de nouveautés « Le petit Saint Thomas ». En 1852, Aristide Boucicaut, jeune employé recruté par Mannoury pour s’occuper du rayon des châles au Petit Saint-Thomas, laisse tomber une pièce de drap dans le ruisseau. Il la débite en morceaux qu’il brade facilement à la criée dans la rue. C’est la remémoration de cet épisode qui lui donne l’idée de créer en 1873 une période de soldes dans son grand magasin Au Bon Marché avec l’exposition du « Blanc » en janvier. Alors qu’il neige et que ses rayons sont relativement vides après les fêtes de fin d’année, Boucicaut a l’idée de remplir ses rayons en soldant ses stocks de linge blanc. L’entrepreneur popularise alors les soldes
Soirée exceptionnelle au manoir de Gressy
Une grande soirée est organisée au manoir de Gressy le samedi 12 Janvier 2019. Des artistes de rue, comme des artistes plus conventionnels venus de tous les genres (musique, peinture, danse, mode, photographie, etc) ainsi que des personnalités politiques se côtoieront dans la bonne humeur et partageront leurs savoirs faires pendant cet évènement.
La renaissance du cygne
La grande cantatrice Lys nous montre encore et toujours son talent. Ses concerts sont toujours empreint d’une très forte mélancolie, d’une très grande tristesse mais on la sent pleine d’énergie. Très loin du chant du cygne On compare le coté cygne de cette immense cantatrice à un phénix renaissant, transcendée dans la beauté par sa mélancolie. Des concerts de plus en plus fantastiques Le dernier concert de Lys fait en Décembre était un chef d’oeuvre incroyable !
Concours Street art : Brutalité en Prada – Jaune
Voici le thème de la prochaine étape du concours pour le mois de janvier. Encore une fois le thème du mois dernier a eu beaucoup de succès et Meaux s’est illustré de dizaines d’oeuvres sur ce thème étrange (Noel et Domination). On ne compte plus le nombre d’artistes qui viennent s’essayer au street art dans les rues de Meaux, illustrant les différentes facades de manière toutes plus créatives les unes que les autres.
Thème de Janvier
- Brutalité en Prada
- Couleur jaune
Dernière minute : Incendie au Théatre du Luxenbourg
Un terrible accident a eu lieu le vendredi 11 Janvier sur Meaux. Un camion citerne a raté son virage et est entré dans la médiathèque, celle-ci à aussitôt pris feu et une grande partie du bâtiment s’est retrouvé dans les flammes.
Des dégâts irréparables
60% de la bibliothèque et 40% du théâtre ont été détruits. Des pertes irréparables ont été constatés dans cet immeuble historique.
Une perte humaine
Le théâtre était heureusement fermé lors de l’accident mais le conducteur du camion est décédé dans les flammes. Une enquête est ouverte pour déterminer les causes de l’accident.
L’homme qui a décorsétisé les femmes
En libérant la femme du corset, ce grand rénovateur de la mode a inventé une nouvelle silhouette féminine.
Un homme visionnaire
Paul Poiret est né à Paris le 8 avril 1879, dans une famille de marchands de draps. Au-delà du vêtement, Poiret peut être considéré comme un véritable éclaireur de son époque. Après son bac, son père le fait travailler chez un fabricant de parapluies : il ne cessera plus jamais de déplorer, gaiment, l’incompréhension de ceux qui l’entourent car il se démontre fou de dessin et d’idées. Avec un petit mannequin offert par ses soeurs, il improvise quelques modèles qu’il coupe en utilisant les chutes de soie chipées à l’atelier des ombrelles. Nous sommes en 1898, premier centenaire de la Révolution française. Sur la rive gauche de la Seine s’élève un symbole de progrès, la Tour Eiffel. A Montmartre on ouvre le Moulin Rouge. Les médecins (pour des raison médicales) et les jeunes femmes demandent l’abolition du corset haut lacé baleiné. L’apparence de la femme élégante n’a guère évoluée. Vers 1900 Paul Poiret commence à envisager la robe comme le moyen pour lui de concrétiser les désirs de changement de la jeune femme élégante qui est encore aux prises avec un carcan moral et son corset baleiné. Il commence à montrer ses croquis à Jacques Doucet qui, dans sa maison de couture laisse à quelques modélistes le soin de dessiner les toilettes. Poiret devient l’assistant de Doucet, mais seulement pour quatre ans. Après son service militaire le jeune Poiret entre chez Worth, la plus grande maison de l’époque où il va y parfaire sa connaissance du métier.
Un nouveau salon pour une nouvelle image de la femme
Il ouvre son propre salon de couture en 1903. Respectant d’abord les exigences du corset, il les abandonne en 1906, rejetant également les dentelles et les postiches qui alourdissent la silhouette, et adopte des coupes simples qui font scandale. En 1903 madame Poiret avance à son fils Paul cinquante mille francs qui lui permettent de s’établir à son compte. Au début de cette expérience il se borne à simplifier les lignes. Il se marie avec une jeune fille, Denise, sur laquelle il va tester ses premières innovations audaucieuses. Sa femme, qu lui donnera cinq enfants, va devenir bientôt l’une des reines de la mode nouvelle. Trois ans après l’ouverture de sa maison de mode, Poiret lance la ligne Directoire: dès lors la taille est placée sous la poitrine, la jupe tombe jusqu’aux chevilles. Il n’y a plus raison d’adopter le corset. Poiret encourage ses clientes à le supprimer.
Une descendante qui suit… (ou pas…) les traces de son père
La descendante de l’illustre couturier Paul Poiret s’est installée récemment dans la région. Une couturière comme son père Adélaïde Poiret n’est pas que la fille de son père mais c’est aussi une couturière de renom qui s’est spécialisée dans la remise au gout du jour des corsets que son illustre ancêtre avait fait bannir de la mode. Mais que diable en penserait Paul Poiret ?
La fin des meurtres en rapport avec le milieu occulte ?
Cela fait plus d’un mois qu’aucun meurtre n’a été signalé.
Des attaques bizarres et horribles
Plusieurs meurtres particulièrement horribles ont eu lieu ces derniers mois dans la région. Cependant, celui que certains pensait être un tueur en série en devenir semble avoir disparu de la région. La police est toujours à sa recherche. Des experts interrogés par nos journalistes pensent que le tueur a du partir dans une autre région que la Seine et Marne ou qu’il a put être victime d’un accident.
La police recherche toujours des indices
La police est actuellement en train de vérifier les patients admis dans les hôpitaux ou les morgues ces dernières semaines mais manque de pistes pour trouver des informations sur cet individu.
Les bonnes annonces
Purge
La purge a commencée, soyez rassurés.
Le salon du vampire 2019
La 5e édition du Salon du Vampire aura lieu les 2 et 3 février 2019. Cette année, l’événement a comme thématique « Vampires en tous genres », et se déroulera à La Maison Ravier, 7 rue Ravier, 69007 Lyon. Le Salon du Vampire est l’évènement phare du Lyon Beefsteak Club, celui pour lequel l’association a été originellement créée en 2010. Sur un rythme qui s’est imposé comme biennal dès la deuxième édition, l’association propose par le biais de ce festival comme nul autre de découvrir et rencontrer sur un week-end des auteurs, réalisateurs et chercheurs qui se sont penchés sur le thème du vampire, par l’entremise de conférences et tables-rondes. Ciné-concerts, projections (de documentaires et films) et pièces de théâtre sont venus enrichir la donne au fil du temps, conférant au Salon du Vampire une vraie originalité, sans parler du fait qu’il s’agit de la seule initiative sur ce thème en France (voire au monde). La troisième édition marquait un tournant dans l’histoire de l’évènement, celle-ci s’ouvrant à la présence de stands (artisans, éditeurs, …), permettant au Salon de passer d’un week-end de rencontres à un véritable festival où le vampire (sous un aspect différent à chaque fois) est mis à l’honneur.
Publié dans I. Le Petit Journal (RP) | Pas de Commentaire »